Урок 155

— Ça y est ?

— Ça y est.

— Ça y est. Toc toc toc, bonjour, on y va ?

— Bonjour, on y va.

— Nous commençons et on commence, il faut articuler. Ce n'est pas mon cas. D'accord, comment ça va aujourd'hui ?

— Ça va assez bien, pas mal.

— Ça va très mal aujourd'hui parce que premièrement je suis en retard, c'est ma tradition.

— Oui, oui, je sais. Vous avez raison. Je le sais, vous avez raison.

— Pourquoi vous êtes en retard ?

— Parce que j'ai lu toute la nuit votre auteur préféré.

— Qui s'appelle ?

— J'ai oublié comment il s'appelle. J'ai lu, j'ai commencé à lire une pièce qui s'appelle « l'hôtel des deux mondes ».

— C'était très facile.

— C'était très... pas très, mais assez...

— C'était assez facile.

— C'était assez facile parce que la langue est facile, et parlée, moderne.

— Pourquoi parlée ?

— La langue est moderne, parlée, facile mais le sens est difficile. Au début, au début, c'est philosophique.

— C'est pourquoi j'ai compris tous les mots, chaque mot, mais je n'ai pas compris...

— J'ai compris chaque mot, tous les mots, « mot par mot » mais je n'ai pas compris le sens, mais je n'ai rien compris.

— Je n'ai rien vu, je n'ai plus vu. Je n'ai rien vu, je n'ai jamais vu.

— Rien, plus, jamais, personne, nulle part.

— Je n'ai rien vu, je n'ai jamais vu, je n'ai plus vu. Je n'ai vu personne. Je ne suis parti, je ne suis allé nulle part.

— Je n'ai pas compris. Je n'ai rien compris au niveau du sens philosophique parce que j'ai juste commencé.

— Oh, c'est banal.

— Parce que c'est le commencement, le début, c'est seulement le début. Parce que ce n'est que le début. Ce n'est que le début.

— Ce n'est que le début, c'est pourquoi je continuerai à lire, je lirai, je le ferai, il faudra lire jusqu'à la fin.

— J'aurai, je ferai, je serai, j'irai, je verrai et j'enverrai, je saurai. Il faudra, il pleuvra, j'enverrai, j'obtiendrai, je tiendrai, je viendrai, je reviendrai, je deviendrai, je soutiendrai.

— Je voudrai, je pourrai, je saurai, je devrai, je recevrai, je m'assiérai et je cueillerai.

— Ça va très mal parce que premièrement j'étais effrayé, (j'ai eu peur), j'avais peur.

— J'étais ...

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Vicolette Latarte: Можно перед местоимением “on” в сочетаниях qu’on/que l’on, в сочетании с que&K° (lorsque, quoique, puisque).

Ещё после коротких слов, заканчивающихся гласным звуком: et (и), ou (или), (где), si (если). Например:

Si l’on fait la queue, on… on a froid.


Да, оказывается, с l’un/l’une дело обстоит сложнее*. Если un – артикль или числительное, то его нельзя заменять на l’un. Поэтому нужно сперва определить роль un/une в предложении:

а) неопределённый артикль;
б) неопределённое местоимение;
в) числительное.

Если после un следует существительное, то un – это числительное или артикль; в противном случае (например, предлог de) – местоимение.

А уж дальше – по обстоятельствам.

Следует отметить, что употребление l’un/l’on в большинстве случаев не является обязательным. Исключение составляют устойчивые выражения.

* Источники:

  1. https://www.lawlessfrench.com/grammar/un-vs-lun/
  2. https://french.yabla.com/lesson-Euphony-in-French-On-or-L%27on–328

Получается, с точки зрения языковых норм, предложение

– Je ne porte que l’un tee-shirt et l’une veste

является некорректным. Жаль. Для моих ушей этот вариант более благозвучен.

Мы — забытые следы чьей-то глубины…

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