La brune flambloyante des Perséides.

Aux premiers frémissements de la nuit.
Saulieu s’échappe d’une sorte d’ennui.
Parvenue aux Perséides, le ciel brûle,
quelque oiseau nocturne hulule;

cestMonAscenseurCestPasTonAscenseur










Près de Moscou, le froid tombe vite, le soir. En attendant des Perseides, le feu s’élance vers le ciel noir. J’aime le voir.
La voilà, une étoile filante m’offre une espoir ! Elle me flatte.
Je veux du soleil fière qui m’a brulée toute la journée. Je la prefaire, une chaleur éclatante, cette atmosphère brillante. J’en ai besoin. Pour être vivante, en hiver.

le feu

le soleil

 
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